Je reprends ici la suite d'un précédent blog.

Il s'agit de réflexions et de questionnements sur le devenir de l'Occident ("Nous") et des ennemis qu'il se désigne ("Eux").

Mon plus gros souci sera d'éviter l'agressivité. L'indignation, toujours, masque une impasse intellectuelle : tout peut se comprendre, tout a sa place en ce monde et les humains ne dirigent pas leur destin.

Je joins ici le livre que j'ai écrit en 1992, défense raisonnée des islamistes du FIS algérien, Ce Fleuve qui nous sépare, Lettre à l'imam Ali Belhadj : CeFleuve.pdf